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Pour un Nouveau Monde

5 septembre 2011

Discours de clôture de Laurianne Deniaud - La Rochelle 2011

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5 septembre 2011

Discours Arnaud Montebourg Université été PS

5 septembre 2011

Arnaud Montebourg parle de santé

vimeo.com
Entretien avec les blogueurs . Arnaud Montebourg interrogé sur les questions de santé.
5 septembre 2011

"Montebourg est un Jackass de la politique"

5 septembre 2011

Marc Bauland (PRG) préfère Montebourg à Baylet

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Aube- La logique aurait été qu'il soutienne Jean-Michel Baylet, le président national du Parti radical de gauche. Mais Marc Bauland, président de la fédération auboise du PRG, a choisi une autre voie. Pour les primaires organisées au sein du PS, l'élu troyen a choisi de soutenir Arnaud Montebourg. Et il s'en explique. « J'estime qu'il est le seul candidat engagé dans la primaire citoyenne à avancer des propositions novatrices indispensables : la démondialisation financière, écologique et industrielle, la mise en place d'un capitalisme coopératif et mutualiste que nous, radicaux, défendons depuis des années », confie-t-il.
Car radical, il le reste. « C'est une question de cohérence personnelle », poursuit-il. Et il va au-delà, défendant par ailleurs l'édification d'une VIe République. S'il milite en faveur d'Arnaud Montebourg, c'est aussi « parce qu'il conjugue un socialisme de transformation et un engagement mendésiste authentiquement radical, capable de rassembler les sensibilités de gauche derrière un projet imprégné de justice sociale ». D'où un engagement total dans le département « en tant que personne ». Marc Bauland restera-t-il pour autant au Parti radical de gauche ? « J'ai payé ma cotisation et je reste président jusqu'à la prochaine échéance », rappelle-t-il, sans en dire davantage sur son avenir politique.

Jean-François LAVILLE

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4 septembre 2011

A Venir

Mercredi 31 août, Arnaud MONTEBOURG était l’invité de France Inter pour l’émission animée par Isabelle GIORDANO "Les Affranchis".

Arnaud MONTEBOURG sera l’invité, lundi 5 septembre à 22H30, de « Mots Croisés » sur France 2 pour une émission consacrée à « Qui va payer la rigueur ? ».

Par ailleurs, notre candidat se rendra à Tours, mercredi 7 septembre… Il ira à la rencontre de la population et évoquera son projet pour le pays.
4 septembre 2011

Les jeunes dans la présidentielle

l'émission du samedi 3 septembre 2011

Arnaud Montebourg

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L'EDITO

De tous temps, la carte jeune représente dans le discours politique une opportunité de vitalité dont l'objectif vise à doper une campagne électorale. Qui ne parle pas de SES jeunes, d'une attention portée AUX jeunes, les forces vives de la nation, ceux qui représentent la France de demain et le futur ? Mais derrière cette vitrine et l'image de jeunes militants enthousiastes qui sautent derrière des banderolles, les préoccupations des nouvelles générations sont rarement prises en compte, et l'impression d'une instrumentalisation perdure au fil des décennies. Dans la vie quotidienne, on court toujours après sa propre jeunesse, les élus ont toujours envie d'être entouré de jeunes, mais l'intéret du politique pour les nouvelles générations dépasse t-elle une valeur symbolique dictée par le marketting ? Existe t-il une réelle considération pour les difficultés rencontrées par les plus jeunes d'entre nous ?  

D'autant qu'en période de crise économique, juniors et séniors constituent les couches les plus vulnérables de la société. L'Europe est entrée dans la génération 500 euros.

 

 

Génénration 500 euros pour vivre © Reuters - 2011

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Du coup, la voix des 18/25 ans questionne des thématiques qui concernent tout le monde : l'emploi, l'ascenceur social, le logement, le développement durable...   Mais victime d'une étiquette idéaliste immature, les nouvelles générations peinent à se faire entendre. En Espagne, les Indignés ont exprimé massivement les inquiétudes liées à d'une part à la précarité et l'absence de perspectives. Mouvements analogues mais moins visibles en Italie. Les jeunes diplômés quittent leurs pays en espérant de meilleures perspectives à l'étranger.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INSCRIVEZ VOUS

 

En France, les 18/25 ans ne sont pas mieux lotis. Et leurs préoccupations gagnent le champ de la campagne électorale. Cet espace multimédia leur est réservé. Et ceux qui souhaitent participer aux émissions sur l'antenne d'Inter peuvent s'inscrire sur l'onglet Contactez nous. Nous leur donnons la possibilité de rencontrer les acteurs de la vie politique, économique et culturelle pour les interpeller directement sur les sujets qu'ils estiment prioritaires dans la vie quotidienne.  

 

Dans cette première émission de la saison, Vincent, Clara et Charles ont pu s'entretenir avec Arnaud Montebourg, candidat à la primaire socialiste et président du Conseil Général de Saone et Loire. Après une croisade pour une 6ème République qu'il n'a pas abandonnée, il est revenu sur le concept de démondialisation qui occupe le coeur de sa campagne. "Ce courage politique qui prendrait le pas sur la logique des marchés " est aux yeux de son instigateur un élément de réponse aux problèmes sociaux rencontrés par la société, et en premier lieu par les plus jeunes.

L'affaire DSK, les questions sur à la primaire, le fait qu'Arnaud Montebourg soit convaincu que les sondages se trompent et qu'il sera au second tour ont été laissés aux éditoriaux politiques généralistes. Ici, on a parlé programme, du projet pour l'école du candidat socialiste, (objet du prochain édito), de logement, de nucléaire, des indignés.... Et  des pistons pour trouver du boulot, un système qui marginalise ceux qui ne disposent pas de réseaux ou ne sont pas le fils de...

 

A suivre...

 

http://www.franceinter.fr/emission-les-jeunes-dans-la-presidentielle-arnaud-montebourg

 

4 septembre 2011

« Montebourg incarne un espoir »

Non renseignée

Non renseignée

 

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Mandataire du comité de soutien 21 d’A. Montebourg

« Les primaires offrent à tous les citoyens inscrits sur les listes électorales la possibilité de choisir le candidat socialiste pour l’élection présidentielle de 2012. Avec les idées et les rêves qu’il porte, Arnaud Montebourg incarne un renouveau et un espoir.

La “démondialisation”, qui consiste à relocaliser l’emploi et à promouvoir des comportements sociaux et environnementaux plus dignes ; le capitalisme coopératif, qui recentre l’entreprise sur les salariés plutôt que sur les actionnaires ; la mise sous tutelle des banques, pour maîtriser la finance et mettre fin aux crises à répétition ; l’avènement d’une VI e République, qui remet le citoyen au cœur du système démocratique ; l’Ecole, qui doit être repensée pour créer les conditions d’égalité propres à faire réussir et s’épanouir tous les élèves. Voter pour Arnaud Montebourg, c’est voter pour une politique volontariste où l’Etat reprend tous ses droits, où le citoyen est acteur de sa destinée, où l’avenir n’est plus un problème mais un horizon d’attente.

Les 9 et 16 octobre, votez aux primaires socialistes ! Votez Arnaud Montebourg ! »

Céline Maglica (mandataire) - Gérard Cariteau (coordinateur des volontaires)

21@arnaudmontebourg.fr www.arnaudmontebourg2012.fr/

« Montebourg incarne un espoir »

 

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/09/04/montebourg-incarne-un-espoir

4 septembre 2011

Primaires PS : les sondeurs osent tout

POLITIQUE. Une élection comme les primaires socialistes n'a jamais eu lieu en France. Donner François Hollande favori est un erreur, car les échantillons ne sont pas représentatifs des Français qui iront effectivement votés en octobre prochain.
Sélectionné et édité par Melissa Bounoua

Temps de lecture Temps de lecture : 3 minutes

Texte co-écrit avec Jean-Louis Bon, mathématicien, directeur de recherches à l'université de Lille 1 et Vincent Tiberj, politiste, chercheur à Sciences Po.

 

Les primaires citoyennes, qui permettront au "peuple de gauche" de désigner son candidat à l’élection présidentielle, constituent un redoutable défi pour les instituts de sondage, faute de précédent. S’ils avaient globalement adopté une attitude raisonnable à l’occasion des primaires organisées par Europe Ecologie - Les Verts (EELV) entre Eva Joly et Nicolas Hulot, certains parmi ces instituts ont définitivement abandonné toute prudence aujourd’hui. Chaque jour offre en effet son lot de sondages et, bien sûr, de commentaires, au prix parfois d’approximations douteuses.

 

Discours de cloture de l'Université PS, la Rochelle, 28/08/2011/ (HALEY/SIPA)

 Discours de clôture de l'Université PS, la Rochelle, le 28 août 2011 - Crédit : HALEY/SIPA

 

Une sociologie des électeurs inconnue

 

Avec les primaires socialistes, les instituts de sondage s’avancent sur un terrain très mal balisé : ils veulent nous offrir une "photographie" du résultat d’une compétition électorale sans précédent dont tout le monde ignore le nombre et la sociologie des électeurs. Nul ne sait combien seront ces derniers (la participation peut varier de 1 à 20), ni quelles seront leurs caractéristiques (uniquement des sympathisants socialistes ? les opposants à Nicolas Sarkozy ? voteront-ils davantage en milieu urbain ?, etc.).

 

Pire encore, certains instituts de sondage osent fournir des résultats – abondamment et complaisamment commentés dans la presse - à partir de sous-échantillons constitués en isolant d’échantillons "représentatifs" de la population française les seuls sympathisants de gauche, voire socialistes et/ou certains d’aller voter.

 

Des sondages non représentatifs

 

IPSOS a voulu séduire et montrer son sérieux, le 26 août, avec un échantillon représentatif de la population française de 3677 personnes. Las, l’institut publie des résultats issus d’un sous-échantillon de 404 électeurs potentiels dont 10% ne formulent aucun choix entre les candidats en lice et, sur les 360 individus restant, 52% déclarent n’être pas certains de leur choix (preuve s’il en est que la "cristallisation" chère aux sondeurs est loin d’être opérée). Dans la même veine, la dernière livraison de l’institut IFOP se base sur 439 sympathisants socialistes.

 

La palme revient sans contestation possible à OpinionWay qui publie le 1er septembre les résultats d’une enquête reposant sur… 222 électeurs potentiels ! Il faut ici prendre quelques instants pour proposer un éclairage au lecteur citoyen. Avec un effectif aussi faible, la marge d’erreur est de l’ordre de plus ou moins 7 points.

 

Autrement dit, sans même remettre en question la représentativité réelle d’un échantillon constitué selon la méthode des quotas, la variation autour des scores observés est de l’ordre de 14 points. On peut supposer qu’OpinionWay, bien obligé de donner un chiffre, a choisi le milieu de cet immense intervalle de confiance. Cela signifie que le score de François Hollande a 95% de chances de se situer entre 37% et 51%, celui de Martine Aubry entre 23% et 37% et celui de Ségolène Royal entre 6% et 20%. Au sein de ces différentes fourchettes, il n'y a aucune raison de privilégier une valeur plutôt qu'une autre.

 

Martine Aubry et Francois Hollande à La Rochelle, 28/08/11 (AP Photo/Bob Edme)

 Martine Aubry et Francois Hollande à l'université d'été du PS à La Rochelle le 28 août 2011 - Crédit : Bob Edme/SIPA

 

Avec le même raisonnement, considérons le second tour testé par IPSOS entre Hollande et Aubry et dans lequel le premier l’emporterait avec 53% des voix. Avec une marge d’erreur de l’ordre de 5,3 points (pour des scores autour de 50% et un échantillon de 360 individus), le score de Hollande a en réalité 95% de chances de se trouver entre 47% et 58% tandis que celui d’Aubry se situerait lui entre 42% et 52%. Autrement dit, il est impossible de faire le moindre pronostic quant au vainqueur du scrutin, ni même sur l’ordre d’arrivée des deux premiers candidats à l’issue du premier tour.

 

François Hollande favori, une cause entendue

 

Et pourtant, pour la majorité des observateurs, la cause est entendue : François Hollande est le grand favori de ces primaires. Les instituts qui publient de tels résultats se retrancheront derrière les marges d’erreur qu’ils fournissent désormais en note de bas de page mais que seuls quelques lecteurs téméraires iront consulter, faisant la démarche de se rendre sur les sites internet où figurent l’intégralité des résultats. Pendant ce temps, la machine médiatique s’emballe. Journaux, radios et télévisions présenteront sans recul aucun les chiffres livrés clés en main par certains sondeurs.

 

L’exercice auquel tentent de se livrer ces derniers est tout simplement impossible. Prévoir le résultat des primaires socialistes, première expérience du genre, à partir d’effectifs aussi faibles, revient en quelque sorte à lancer un camion de trois tonnes sur un pont dont a évalué qu’il pouvait supporter entre 1 et 4 tonnes. Peut-être atteindra-t’il l’autre rive…mais peut-être pas. Aucun chauffeur ne prendrait ce risque. Pourquoi les instituts le prennent-ils ?

Auteur parrainé par Baptiste Legrand

 

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/189096;primaires-ps-les-sondeurs-osent-tout.html

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